Comme l'évoque Gérard Charollois dans sa lettre du 15 Mars, à Sivens, l'évacuation du site s'est déroulée dans des circonstances indignes d'une démocratie. L'Etat semble en effet y avoir abandonné son rôle pour laisser place à des milices privées qui, tout en prétendant incarner l'ordre public, n'ont pas hésité à se livrer à des violences et des manoeuvres d'intimidation contre les opposants au projet. Ceci avec la complaisance stupéfiante des forces de gendarmerie sur place. La fibre "anti écologiste" de l'actuel exécutif n'est décidément plus à démontrer... En lien, les faits relatés par Isabelle Rimbert sur le site de "Reporterre"... (Cliquer ici).