Droits de l'animal et droits de l'animal humain.

Communiqué CVN  du 5 Janvier 2013

La CONVENTION VIE ET NATURE approuve la démarche de Brigitte BARDOT en faveur de deux éléphantes du parc de la TÊTE D'OR de LYON, menacées de mort pour cause de tuberculose présumée.
Avec Brigitte BARDOT, nous demandons qu'un animal malade soit soigné et non tué.
Avec Brigitte BARDOT, nous dénonçons la carence des gouvernants français qui n'ont pas l'élémentaire courage de se prononcer sur le sort de ces éléphantes, alors que l'actrice a sollicité par courrier l'intervention du chef de l'Etat pour les sauver.
Avec Brigitte BARDOT, par-delà ce cas d'espèce, nous déplorons que nonobstant les aspirations d'une majorité de citoyens, ces gouvernants s'abstiennent de toute mesure en faveur du vivant, observant une honteuse pusillanimité face à la chasse, mort loisir, à la corrida, mort spectacle.
Avec Brigitte BARDOT, nous constatons que la France demeure la lanterne rouge de l'Europe en matière de protection de la nature et des animaux, le cimetière des oiseaux migrateurs et le jouet des lobbies rétrogrades de l'exploitation de la faune et des animaux d'élevage.
Néanmoins, à la différence de Brigitte BARDOT, nous ne considérons pas la Russie du président POUTINE comme une référence acceptable du point de vue des droits du vivant.
Pour la CONVENTION VIE ET NATURE, les droits du vivant associent indissolublement les droits de l'homme et ceux des animaux et de la nature.

Une amie des animaux ne doit pas rejoindre, dans son combat généreux, éclairé, un émigré fiscal, successeur des émigrés de 1789, addictif à des intérêts aussi bas que ceux que nous servons sont élevés.

GC.

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