"Suite à la décision purement politique et argumentée de façon indigente par les membres du conseil constitutionnel, de considérer l’exception corrida comme étant constitutionnelle le vendredi 21 septembre 2012, l’indignation et la colère montent dans tout le pays. Des rassemblements spontanés se préparent un peu partout. Des citoyens libres, des associations nous contactent et nous demandent de relayer leurs actions à venir, ce que nous faisons très volontiers. Face à un gouvernement socialiste pro-torture qui poursuit la promotion de la barbarie tauromachique déjà engagée par le gouvernement UMP précédent, la révolte gronde.
Lorsque des ministres (Mme Carlotti, M. Valls) déclament leur passion personnelle pour la barbarie, et que le ministre de l’intérieur déclare (Midi Libre du 18 septembre 2012) : « plusieurs membres du gouvernement sont aficionados, on a une capacité à bloquer tout projet éventuel », on peut vraiment parler de dictature tauromachique. Manuel Valls a dépassé largement les limites, nous demandons sa démission immédiate. Il n’est plus crédible. Soyons très nombreux dans toutes ces actions à venir. Faites passer le message !"
Deux manifestations sont d’ores et déjà programmées pour exprimer l’indignation des citoyens, à Bordeaux (voir page d'accueil) et à Paris.(Voir ci-dessous).
Un rassemblement citoyen réunira le 20 octobre à partir de 14 heures, place du Palais Royal à Paris, les français en colère contre la scandaleuse réponse du Conseil Constitutionnel qui entérine l’impunité pénale dont bénéficie la corrida dans certaines localités du sud de la France.Face à cette infamie, les français rappelleront qu’ils sont en grande majorité pour l’abolition de la Corrida.Ils exigeront, que les propositions de loi sur le sujet soient débattues à l’Assemblée Nationale ou que soit instauré un référendum national.
Ils demanderont aussi à Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture, de confirmer son soutien à l’abolition et au retrait de la Corrida du Patrimoine Culturel Immatériel.Ce rassemblement est organisé par un collectif de citoyens indépendants qui invitent les associations à les rejoindre, place du Palais Royal.