Communiqué de la Convention Vie et Nature du 19 Janvier 2017
Une éducation biophile exclut toute violence contre l'enfant.
Une société biophile exclut toute violence à l'encontre de ses membres et de l'ensemble des êtres vivants.
L'orgueilleux animal humain n'a pas atteint ce haut degré de civilisation ce que prouve les comportements brutaux, grossiers, sanguinaires, agressifs auxquels nous assistons constamment.
Le 25 octobre 2014, les forces de l'ordre d'un Etat que l'on voudrait de droit tuaient Rémi FRAISSE parce que des intérêts très privés et des collusions politiciennes voulaient détruire un site naturel pour édifier un inutile barrage, dit de SIVENS.
Il est probable que cet homicide n'était pas prémédité, ni recherché.
Néanmoins, un pacifique botaniste d'une vingtaine d'années a été victime de collusions obscures et malodorantes entre des politiciens régionaux acharnés à affecter de l'argent public à un ouvrage nocif pour la nature.
Homicide involontaire, sans doute, mais comment imaginer que si la victime était du camp d'en face, la solution judiciaire eut été la même : un non-lieu.
"Selon que vous serez conformistes ou contestataires ...."!
Pour nous, la violence physique est inconcevable quelle que soit sa victime.
Qu'il s'agisse d'un botaniste amoureux de la nature ou d'un homme politique giflé par un excité nationaliste, c'est-à-dire dérangé, la violence mérite condamnation.
On peut critiquer, conspuer un adversaire.
Un humain hominisé ne frappe pas, ne tue pas, ne moleste pas.
Construisons une société sans violence.
Une société biophile exclut toute violence à l'encontre de ses membres et de l'ensemble des êtres vivants.
L'orgueilleux animal humain n'a pas atteint ce haut degré de civilisation ce que prouve les comportements brutaux, grossiers, sanguinaires, agressifs auxquels nous assistons constamment.
Le 25 octobre 2014, les forces de l'ordre d'un Etat que l'on voudrait de droit tuaient Rémi FRAISSE parce que des intérêts très privés et des collusions politiciennes voulaient détruire un site naturel pour édifier un inutile barrage, dit de SIVENS.
Il est probable que cet homicide n'était pas prémédité, ni recherché.
Néanmoins, un pacifique botaniste d'une vingtaine d'années a été victime de collusions obscures et malodorantes entre des politiciens régionaux acharnés à affecter de l'argent public à un ouvrage nocif pour la nature.
Homicide involontaire, sans doute, mais comment imaginer que si la victime était du camp d'en face, la solution judiciaire eut été la même : un non-lieu.
"Selon que vous serez conformistes ou contestataires ...."!
Pour nous, la violence physique est inconcevable quelle que soit sa victime.
Qu'il s'agisse d'un botaniste amoureux de la nature ou d'un homme politique giflé par un excité nationaliste, c'est-à-dire dérangé, la violence mérite condamnation.
On peut critiquer, conspuer un adversaire.
Un humain hominisé ne frappe pas, ne tue pas, ne moleste pas.
Construisons une société sans violence.
Gérard CHAROLLOIS