Notre Président (de la République !) a fait savoir à la presse avant de se rendre au Salon de l'Agriculture où il craignait d'être mal reçu qu'il n'était pas question de changer le statut légal de l'animal.
Sans doute devrait-il s'inspirer d'outre-atlantique où en moins d’une semaine, près de 30 000 Québécois ont signé un manifeste qui commence à circuler sur internet : "Les animaux ne sont pas des choses".
Un débat de même nature s'est également installé en France animé par des scientifiques et des philosophes dans le cadre du think tank "ECOLO ETHIK" (voir ce lien).
Mais dans notre pays, presque tout se décide au "Chateau". Et le maître des lieux a déjà tranché : le statut juridique de l'animal ne sera pas modifié. (informations détaillées par ce lien ). "La France aime les animaux et dans notre pays nous avons déjà fait beaucoup fait à ce sujet" (dixit Hollande)... Les animaux remercient Monsieur le Président qui ne leur accorde pas même un débat.
Mais au fait : Voltaire aurait-il signé le manifeste en question ?
Réponse dans cette remarquable analyse de Renan Larue, chercheur postdoctoral Banting à l’Université de Montréal. (Cliquer ici !!!).