Après la vie, la liberté

Imprimer

Les gouvernants, en Occident, ignorant tout de la virologie, n’ont pas su préserver les populations de la pandémie en interrompant tout mouvement humain entre la Chine et le reste du monde lorsqu’il en était temps.
 Les avions ont transporté commerciaux, touristes, ressortissants expatriés alors qu’il fallait « confiner », durant deux ou trois mois,  une zone circonscrite.
 L’émergence d’un virus nouveau et meurtrier n’est nullement un fait exceptionnel et de force majeure.
 Mais les affaires sont les affaires et le monde est dirigé par des banquiers, des financiers, des traders, des promoteurs c’est-à-dire des parasites ignares et arrogants.
 Et voilà pourquoi des gens souffrent et meurent.
 Maintenant, ceux qui n’ont pas su protéger la vie, maltraitent la liberté et les droits humains.
 Sous couvert de mesures sanitaires un état policier totalitaire se met en place sans l’édiction de sanctions lourdes à l’encontre des pouvoirs qui détourneraient ces mesures pour d’autres buts.
 Les tribunaux ne fonctionnent plus. L’état de droit est en coma artificiel.
 Oui, aux mesures imposées pour sauver des vies.
Non, à une société « big brother ».

Gérard CHAROLLOIS