Nouvel Appel du CRAC !

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Reçu de  Jean-Pierre  Garrigues, Président du CRAC d’Alès
Vice-président du CRAC Europe pour la protection de l’enfance

Référendum dans la ville d'Alès pour ou contre la corrida... Cliquez ici pour signez la pétition !


Nous poursuivons la lutte à Alès et ce n’est qu’un début ! Vous trouverez ci-dessous notre dernier communiqué de presse repris par le Midi Libre le 26 mai.
L’article sera en ligne sur notre site très bientôt. Je peux vous en envoyer un scan sur demande. Non seulement le journaliste reprend de larges extraits
de notre lettre ouverte au maire d’Alès (pièce jointe), mais il parle en plus d’une « aficion clairsemée » à Alès !!!

A voir sur notre site :
http://www.anticorrida.com/Abolition-de-la-corrida-a-Ales-le

Ainsi qu’un article de l’Indépendant dans notre revue de presse :
http://www.anticorrida.com/IMG/pdf/L_independant_24_05_12.pdf

Et aussi à Narbonne :
http://www.anticorrida.com/Le-CRAC-Europe-vigilant-a-Narbonne

CONTINUONS DE PROTESTER AUPRES DE LA MAIRIE D’ALES. MERCI DE DEMANDER AU MAIRE MAX ROUSTAN DE REPONDRE A NOTRE LETTRE OUVERTE DU 24 MAI : VA-T-IL OUI OU
NON SUPPRIMER LES CORRIDAS A ALES ?

Téléphones :

Liste de 3 éléments
• Accueil : 04 66 56 11 00

• Secrétariat du maire : 04 66 56 42 88

• Direction Pôle temps libre : 04 66 56 42 52

fin de liste


Fax : 04 66 56 10 31
Mail :
communication@ville-ales.net

Et faites savoir à son adjoint à la tauromachie votre point de vue :

francoisgilles30@orange.fr

Merci d’éviter les insultes, soyons fermes mais restons courtois ! Vous pouvez envoyer des pièces jointes lourdes, c’est efficace !

Un grand merci à toutes et à tous. Alès doit tomber et Alès va tomber, grâce à vous toutes et tous ! Mettons le paquet avant les élections législatives
!

Bien à vous

Jean-Pierre Garrigues

CRAC Europe
www.anticorrida.com

Tél. 06 75 90 11 93

Communiqué de presse du CRAC

24 mai 2012

Abolition de la corrida à Alès : le bras de fer est engagé !


Par ses interventions dans les médias pendant la feria d’Alès, M. Max Roustan nous a fait comprendre qu’il était bien conscient que la torture tauromachique
posait problème. Que la mobilisation citoyenne en direction de la mairie commençait à perturber certains services, et qu’une forte opposition contre ces
pratiques barbares était peu compatible avec un esprit de la feria qu’il voulait « festif ». Nous sommes tout à fait d’accord avec M. Roustan : torturer
des animaux pour le plaisir, ce n’est pas « festif ». Qu’il s’agisse d’un cheval traînant ses tripes sur le sable, ou d’un taureau terrorisé vomissant
son sang. Il est temps d’appeler les choses par leur nom : ces supposées traditions (la corrida n’existe en France que depuis 1853) relèvent de « sévices
graves » et « d’actes de cruauté » (article 521.1 du Code pénal). L’auteur de ces actes est un tortionnaire, ceux qui s’en réjouissent dans les gradins
sont des sadiques, voire des pervers (le lynchage des militants à Rodilhan le 8 octobre 2011 en a été une preuve supplémentaire – dossier en cours d’instruction
– 70 plaintes déposées contre une trentaine d’agresseurs). Nous n’accepterons plus la barbarie dans la capitale des Cévennes. La corrida du 20 mai 2012,
avec ce provocant « concours de picadors » et cette « pluie d’oreilles » accordées par l’instigateur de ces horreurs, l’adjoint au maire François Gilles,
aura été la dernière à Alès. Notre mobilisation citoyenne va s’intensifier au fil des semaines et des mois jusqu’à obtenir gain de cause : la mise en place
de la démocratie et la consultation du peuple. Une toute petite minorité ne peut plus imposer ces séances de torture.  Par une lettre ouverte (ci-jointe),
nous informons M. Roustan que nous appellerons à voter contre lui lors de toutes les échéances électorales si nous n’obtenons pas gain de cause. Il peut
consulter la population sur le sujet par voie référendaire, mais il peut aussi tout simplement ne pas faire d’appel d’offres pour 2013 et ne plus financer
la corrida par des subventions directes ou indirectes. La règle est immuable : sans soutien de la mairie, il n’y a jamais de corrida dans une ville ! Nous
lançons à M. Roustan un ultimatum pour le 4 juin. En fonction de son positionnement, nous appellerons à voter pour ou contre lui dès le mardi 5 juin au
matin. Et nous lui demandons un rendez-vous dans les plus brefs délais.



Plus rien n’arrêtera la vague abolitionniste dans la capitale des Cévennes. Les 11 et 12 mai 2013, nous annonçons dès à présent un rassemblement unitaire
abolitionniste sans précédent. Notre objectif : plus de 5 000 militants pour empêcher les séances de barbarie ou pour fêter « Alès, ville de l’abolition
! ». Et la première feria alésienne sans corrida sera enfin « festive », comme le souhaite Max Roustan. Fréjus a montré l’exemple en 2010. Ce n’est pas
si difficile !



Pour l’ensemble des associations

Jean-Pierre Garrigues

Président du CRAC d’Alès


Vice-président du CRAC Europe pour la protection de l’enfance


Tél. 06 75 90 11 93

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